« Fais un effort ! » Ou encore : « Si tu n’essayes pas de te secouer un peu, comment veux-tu t’en sortir ? » De telles recommandations sont adressées quotidiennement aux personnes souffrant de dépression et se déclinent sous de nombreuses formes.
« Fais un effort ! » Ou encore : « Si tu n’essayes pas de te secouer un peu, comment veux-tu t’en sortir ? » De telles recommandations sont adressées quotidiennement aux personnes souffrant de dépression et se déclinent sous de nombreuses formes.
Existe-t-il une participation des mutuelles pour les séances de psychomotricité ? L’exercice de la psychomotricité en libéral est autorisé depuis 1988. Cette discipline agit sur le corps et vise à harmoniser les fonctions motrices, intellectuelles et affectives du patient. Aujourd’hui, de plus en plus d’adultes et d’enfants ont recours à cette thérapie. Les psychomotriciens sont des auxiliaires de la médecine comme le sont les kinésithérapeutes, les orthophonistes… Cependant la Sécurité Sociale ne reconnaît pas les soins qu’ils procurent et ne rembourse pas les séances de psychomotricité. Mais sachez qu’il y a d’autres moyens de se faire rembourser ses séances.
Lundi 10 septembre, l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a annoncé, à la demande de la ministre de la Santé, la création d’un comité scientifique spécialisé sur « l’évaluation de la pertinence et de la faisabilité de la mise à disposition du cannabis thérapeutique en France ».
Alors que le gouvernement prépare la publication du plan gouvernemental de prévention des conduites addictives, une étude scientifique d’une importance majeure a fait irruption dans le débat public à la fin de l’été. Publiée dans la prestigieuse revue The Lancet, elle a, par sa qualité (1800 chercheurs de 127 pays y ont contribué) et son ampleur (les données étudiées portent sur 28 millions de personnes de 195 pays sur une période de 25 ans), provoqué en France à la fois la satisfaction des professionnels de santé publique et la stupéfaction des alcooliers.
Nous l’appellerons Sophie. Le portrait que nous allons dresser de cette jeune personne pourrait être celui de n’importe laquelle des femmes qui entrent, sans le savoir, dans le spectre autistique. Parce qu’elles sont intelligentes, parce qu’elles sont habituées à compenser des difficultés de communication dont elles n’ont pas forcément conscience, ces femmes passent à travers les mailles du filet encore trop lâche du dispositif national de diagnostic.
Schizophrénie, bipolarité, autisme, déficience intellectuelle… La plupart du temps, les déviations à la norme sont perçues négativement et les individus ayant des troubles mentaux, surtout psychiatriques, sont souvent considérés comme appartenant à une catégorie d’êtres à part, n’ayant aucun point commun avec les autres, les gens normaux. Mais ont-ils vraiment si peu de points communs ?